Respectez le Code de la route et les piétons

Lorsque vous conduisez en ville, il est essentiel de respecter scrupuleusement le Code de la route. Adaptez votre vitesse aux limitations en vigueur, respectez les feux de signalisation et les panneaux de priorité. Gardez également à l’esprit que les piétons sont des usagers vulnérables de la route. Si vous souhaitez passer votre permis de conduire, consultez les tarifs de Stych, parmi les plus bas du marché.
Faites preuve de prudence et cédez-leur toujours le passage, que ce soit sur les passages pour piétons ou en dehors. Ralentissez lorsque vous traversez des zones très fréquentées par les piétons, comme les zones résidentielles ou les abords d’écoles, car les piétons peuvent parfois ne pas utiliser ces passages prévus pour eux. Soyez attentif à leur présence et prêt(e) à vous arrêter si nécessaire.
En respectant le Code de la route et en accordant la priorité aux piétons, vous contribuez à une conduite fluide et sécurisée en ville, favorisant ainsi la cohabitation harmonieuse entre tous les usagers de la route.

Ajustez vos rétroviseurs et vérifiez vos angles morts

Cette étape est primordiale pour une conduite sécurisée en ville. En effet, les rétroviseurs permettent de visualiser les voitures qui se trouvent derrière vous. En revanche, les angles morts sont les zones situées à l’arrière des véhicules où la visibilité est limitée. Les conducteurs doivent régulièrement vérifier ces angles pour s’assurer qu’ils ne risquent pas de causer un accident.
Cependant, retenez que vous devez maîtriser certains gestes de sécurité avant d’obtenir votre permis de conduire. En effet, les auto-écoles doivent mettre l’accent sur l’importance de bien régler les rétroviseurs et de vérifier aussi les angles morts.
Il faut noter que ces gestes de sécurité font partie des compétences clés que les conducteurs doivent maîtriser avant de prendre la route. En ajustant correctement ses rétroviseurs et en vérifiant régulièrement ses angles morts, le conducteur peut éviter les collisions et les accidents en ville. Cela lui permettra de faire des économies sur les réparations ainsi que sur les frais d’assurance automobile.

Réduisez votre vitesse

Réduire sa vitesse est un conseil clé pour une conduite fluide et sécurisée en ville. Cela permet non seulement de mieux anticiper les mouvements des autres usagers de la route. Il permet également de diminuer les risques d’accident. En effet, les accidents de la route en zone urbaine sont souvent causés par une vitesse excessive. Par conséquent, vous devez respecter les limitations de vitesse en vigueur et adapter votre conduite aux conditions de circulation.
En outre, suivre une formation en auto-école peut aider à renforcer les compétences de conduite et à améliorer la sécurité routière. Ces centres de formation aident les nouveaux conducteurs à mieux comprendre les règles de la circulation et à développer des compétences de conduite avancées.

Évitez les sources de distraction au volant

Les sources de distraction au volant peuvent être dangereuses en tout temps, mais particulièrement en cas de circulation dense. Lorsque les voitures se déplacent lentement, les conducteurs peuvent être tentés de prendre leur téléphone pour envoyer des messages ou passer des appels.
Cela peut provoquer des accidents et aussi entraîner des modifications importantes en raison des lois contre l’utilisation du téléphone portable au volant. De ce fait, il est conseillé de rester concentré sur la route et de ne pas se laisser distraire par les événements de la circulation.

Prévoyez une distance de sécurité

Pour une conduite fluide et sécurisée en ville, vous devez prévoir une distance de sécurité adéquate entre vous et les autres conducteurs. Il faut noter que la distance de sécurité doit être suffisante pour permettre une réaction rapide en cas d’urgence. En effet, en ville, la circulation est souvent dense et les arrêts brusques sont fréquents. C’est à juste titre qu’il est conseillé de laisser suffisamment d’espace pour éviter les collisions arrière.

Une règle simple pour déterminer la distance de sécurité est la règle des « deux secondes ». Il s’agit de maintenir une distance d’au moins deux secondes entre votre véhicule et celui des autres. Pour cela, vous pouvez utiliser un repère fixe, comme un panneau de signalisation, et compter « une seconde, deux secondes » après que le véhicule qui vous précède ait franchi ce repère.

Enfin, grâce à une distance de sécurité suffisante, vous pouvez aussi réduire votre consommation de carburant en empêchant les freinages brusques. De plus, cela vous permet d’adopter une conduite plus souple et plus économique.

Refaire le test pour conduire sans trop attendre

Vous devez vite retourner dans une auto ecole après un échec au permis de conduire. Les dates d’examen ne dépendent pas de vous. Néanmoins, il faut vous assurer de ne pas laisser beaucoup de temps avant d’essayer à nouveau. Si vous tardez trop à vous relancer, vous oublierez certainement les notions essentielles. Reprenez donc vite le processus pour être sûr d’avoir les idées fraîches et ne pas devoir fournir trop d’efforts pour refaire un apprentissage à partir de zéro.

Faire le point sur vos lacunes

L’échec à l’examen pour conduire un véhicule peut être assez démoralisant. Ce n’est cependant pas une fatalité. Repassez rapidement le test, mais tâchez de ne pas vous précipiter. Vous devez principalement prendre le temps de faire le point à la suite de votre examen. Les raisons de l’échec à l’évaluation du permis de conduire sont nombreuses.

Erreurs lors du démarrage de voiture

Ces erreurs sont multiples. Il s’agit surtout d’oublier de prendre connaissance de son environnement avant le démarrage, les calages répétitifs, le recul important lors d’un démarrage en côte.

Fautes commises au moment de l’arrêt du véhicule

Ce sont le plus souvent les défauts de freinage ou des arrêts qui indisposent les usagers de la route du côté opposé.

Erreurs lors des manœuvres

Ces erreurs sont surtout celles qui engendrent un risque quelconque de collision avec le trottoir ou un autre usager.

Maladresses éliminatoires à une intersection

Il s’agit plus précisément d’un arrêt brusque qui entraîne un danger pour les autres usagers, de l’abus ou du refus de priorité à gauche, d’un engagement qui contraint les autres usagers, le non-respect du stop, etc.
De nombreuses autres bévues peuvent vous faire échouer au permis de conduire. Pour être sûr de ne pas refaire les mêmes erreurs, vous devez faire le point sur votre dernier passage au test. Vous pouvez demander de l’aide à votre moniteur pour plus de sérénité. Ce dernier peut aussi vous aider à reprendre la grille d’évaluation remplie par l’inspecteur au moment de votre premier passage. Vous pourrez donc mieux comprendre vos erreurs et les analyser pour ne pas les refaire.

Mettre de côté tout stress pour repasser votre permis de conduire en toute quiétude

L’une des principales causes de l’échec à l’examen qui permet de conduire un véhicule est le stress. Souvenez-vous qu’il s’agit d’un test comme tous les autres. De plus, après un échec, vous n’aurez pas à attendre toute une année pour un nouvel essai. Il ne sert donc à rien de stresser, si vous souhaitez réussir. Pour repasser votre permis de conduire, vous devez éliminer tout doute en vous, car l’échec n’est pas une fatalité.
Il est très facile de gérer le stress avant et pendant l’évaluation. Pour ce faire, vous pouvez pratiquer des exercices de relaxation avant chaque cours de code ou même avant le début du test. Prenez une profonde respiration si vous vous sentez stressé. Il faut aussi prendre la peine de bien se reposer les jours avant votre examen pour limiter le risque d’angoisse.

Bien réviser pour un nouveau passage

La clé pour obtenir un important taux de réussite au test de capacité pour conduire est une bonne révision. Il faut cependant réviser de façon intelligente. Adaptez votre apprentissage à vos besoins en vous basant sur les lacunes précédemment soulignées.
Les épreuves théoriques comportent 40 questions tirées des 10 thématiques traitées dans la formation pour être capable de conduire. Ce que vous devez faire ici est de repérer les thématiques que vous avez auparavant ignorées. Passez correctement ces thématiques en revue et soyez sûr de les avoir bien maîtrisées.
En revanche, vous pouvez tout apprendre et ne pas arriver à restituer. Ceci peut être principalement lié à l’utilisation de mauvaises techniques d’apprentissage et de mémorisation. L’idéal est alors de changer vos habitudes. Vous pouvez par exemple établir une fiche pour apprendre. Pourquoi ne pas demander à un proche de vous évaluer pour vous assurer d’avoir tout bien mémoriser ?

Pratiquer des exercices de conduite

Une très bonne façon de repasser votre permis de conduire en toute quiétude est de s’exercer à la conduite avant l’examen. Vos aptitudes au volant seront évaluées. Il est donc astucieux de bien vous y préparer. En vous exerçant à la conduite pendant la révision, vous serez confronté aux divers éléments de signalisation et à des situations de conduite variées. D’abord, vous limitez le stress en faisant face à des scénarios similaires à celui de l’examen. Mais en plus, vous appréhendez mieux les notions et vous serez apte à fournir les réponses adéquates aux questions.
Après un échec, il est important de savoir comment repasser le test de capacité pour conduire. Pour cela, vous devez passer à nouveau l’examen sans trop attendre. Cependant, il faut d’abord faire le point de vos lacunes. Il est aussi important de bien réviser le cours de code et de pratiquer des exercices de conduite. Vous devez par ailleurs éliminer tout stress pour être sûr de repasser votre permis de conduire en toute quiétude.

L’antivol pour moto

Ce type d’accessoire est indispensable pour tous les motards. Une moto coûte cher, il est donc indispensable de la protéger contre les cas de vols. Le premier antivol que la moto doit avoir, c’est son code d’immatriculation qui doit être gravé sur la moto. Ensuite, on peut installer des dispositifs spécifiques comme la chaîne ou l’antivol en U qui sont parfaits pour dissuader les voleurs dits opportunistes. Pour le cas des vols de type bike-jacking, il est préférable de poser un système GPS sur la moto afin de la repérer si jamais on la volait. On peut aussi installer un coupe-circuit pour éviter que l’on vous vole le véhicule. Il existe aussi des alarmes télécommandées pour moto sur le marché qui permettent d’avertir le motard en cas de tentative de vol. Toutes sortes d’accessoires pour moto sont disponibles chez BMW Motorrad, vous y trouverez diverses pièces et des accessoires de qualité.

La béquille moto

Si cet accessoire était présent sur les anciens modèles de moto, les véhicules récents n’en sont plus équipés. Ce type de béquille est indispensable pour maintenir la moto en équilibre et stable lorsqu’elle est à l’arrêt. Il est donc essentiel de bien la choisir afin qu’elle ne cause pas la chute de la moto si elle n’est pas bien solide ou bien stable. Il existe également différents types de béquilles qu’on peut trouver sur le marché. On a en premier lieu les béquilles latérales qui sont très faciles à utiliser et qui ressemblent aux béquilles des vélos. Cependant, elles ne sont pas adaptées si la moto est garée sur une surface en pente, car la moto peut basculer. Ensuite, on a les béquilles centrales qui se présentent comme une fourche se situant à l’arrière de la moto. C’est une béquille lourde et très ancienne qui peut également être encombrante en plus d’être chère. Vous avez aussi les béquilles d’atelier qui sont très pratiques pour vous aider à faire de petites réparations sur la moto, dans votre garage.

Où corriger le ou les erreurs sur la déclaration de cession ?

L’erreur est humaine dit-on. Si vous vous êtes aperçu qu’il y a une erreur sur la déclaration de cession du véhicule, vous devez sans attendre effectuer les démarches pour la corriger. Mais, bien sûr, il n’est plus possible de faire les démarches en préfecture. Vous devez allumer votre ordinateur et vous connecter en ligne. Quelle que soit la modification que vous voulez apporter à votre déclaration de cession de véhicule, tout doit se faire en ligne.

Si vous avez du mal à vous servir d’un ordinateur, si vous n’en possédez pas ou si vous n’y avez pas accès, la préfecture ou la sous-préfecture restent ouvertes. Sur place, des médiateurs vous accompagneront pour effectuer les démarches nécessaires. De plus, des outils informatiques ainsi que des imprimantes et des scanners y sont à votre disposition.

Si vous êtes capable de vous en sortir tout seul, rendez-vous sur le site de l’ANTS puis entrez votre identifiant. Si vous l’avez oublié, utilisez celui dont vous vous servez pour vous connecter à France Connect. Rappelez-vous ceci : les coordonnées pour vous identifier à France Connect, ce sont les mêmes que celles pour vous connecter à Laposte.fr, Ameli.fr ou Impots.gouv.fr. Assurez-vous d’avoir à portée de main les documents essentiels pour la correction des erreurs. D’abord, il vous faut le scan du certificat d’immatriculation où se trouve l’erreur, puis un justificatif prouvant qu’il s’agit bien d’une erreur (votre pièce d’identité ou un justificatif de domicile ou autre, selon l’erreur en question).

Modification d’erreur sur déclaration de cession, indispensable

Sachez que si vous remarquez une ou des erreurs sur votre carte grise, à cause d’une ou des erreurs sur la déclaration de cession, vous êtes dans l’obligation de modifier cette ou ces erreurs. Ce n’est pas optionnel. Ne pensez pas un seul instant que vous pouvez circuler librement avec votre véhicule avec une carte grise comportant des erreurs. Auriez-vous oublié que vous pourriez être arrêté par un agent de circulation à n’importe quel moment et qu’il vous réclamera vos papiers pour contrôle ? S’il voit qu’il y a une anomalie sur vos papiers, cela peut vous poser de sérieux problèmes. Aucune explication ne sera alors recevable et vous seriez contraint de payer une amende.

En effet, dans ce genre de cas, vous devrez vous acquitter d’une amende de 135 euros. Mais cette amende peut s’élever à 750 euros si vous oubliez de la payer à temps. Vous ne voulez certainement pas avoir de tels ennuis, alors, dès que vous voyez qu’il y a erreur sur votre carte grise, réagissez rapidement. Mieux, dès que vous avez votre carte grise en main, ayez le réflexe de vérifier si elle ne comporte aucune erreur. Prenez votre temps, assurez-vous dans les moindres détails que tout est absolument correct. Cela vous évitera des problèmes par la suite et vous pourrez rouler l’esprit tranquille avec votre véhicule, sachant que tous vos papiers sont en règle. Cependant, il est utile de préciser que vous pouvez aussi mandater un prestataire agréé pour faire cette démarche à votre place. Il fera la rectification sur la déclaration de cession en votre nom, moyennant quelques frais. Passer par un professionnel habilité par le ministère est aussi un moyen simple et pratique pour vous épargner des démarches parfois chronophages.

Coût de la correction si vous êtes à l’origine de l’erreur

Malheureusement, une correction d’erreur sur la déclaration de cession a un coût. Ce tarif varie selon la situation. Comment cela ? Les frais à payer dépendent de ceci : vous êtes responsable de l’erreur ou c’est l’administration qui l’est.

Supposons que vous soyez à l’origine de l’erreur de déclaration de cession, cela veut dire que lorsque vous avez complété le formulaire, vous avez oublié une lettre, un chiffre, bref, vous avez commis une erreur dont vous ne vous êtes pas rendu compte sur le moment. Or, cette erreur vous vaut une carte grise invalide, qui n’a aucune valeur. Dans ce cas, vous devez payer une taxe d’acheminement et de gestion, la même que celle dont vous devez vous acquitter si vous demandez un duplicata. Cependant, vous aurez peut-être d’autres frais à payer selon les caractéristiques de votre véhicule, des taxes qui changent selon la puissance en CV de votre véhicule et selon votre domicile.

Pour que vous en ayez une idée plus précise, sachez que si vous avez un véhicule particulier, vous devez payer une taxe qui est celle d’un CV et à laquelle s’ajoute la taxe d’acheminement et de gestion. Si votre véhicule est une moto de moins de 125 cm, la taxe à payer est d’un quart de CV à laquelle s’ajoute également la taxe d’acheminement et de gestion. Pour un deux-roues en-dessous de 50 cm, zéro taxe.

Coût de la correction si l’administration est en cause

Il est également possible que ce soit l’administration qui soit en cause. C’est elle qui a mal copié les informations sur la déclaration de cession que vous avez effectuée sur https://www.declaration-cession.fr ou sur le site de l’ANTS. Vous avez parfaitement tout écrit, sans rien omettre, sans rien oublier, mais vous avez quand même reçu une carte grise comportant une erreur. Pour être sûr que la faute ne vient pas de vous, l’administration n’a qu’à consulter votre déclaration de cession. Les responsables verront alors que vous avez correctement rempli toutes les cases, tous les blancs. Les cédilles, les accents, les tirets, tout y est, dans les moindres détails. C’est ainsi qu’on établit que vous n’êtes pas coupable de l’erreur figurant sur votre certificat d’immatriculation.

Si c’est l’administration qui a commis l’erreur, vous n’aurez absolument rien à payer pour la rectification et aussi pour la nouvelle carte grise. Tout est à la charge de l’administration. Parce que vous êtes victime dans cette affaire, vous n’en portez aucune responsabilité. Toutefois, vous devez signaler l’erreur sur le nom, sur le prénom, sur l’adresse ou sur toute autre inscription sur votre certificat d’immatriculation. Vous n’avez pas non plus à produire les pièces justificatives puisque les bonnes informations sont déjà sur la déclaration de cession de véhicule. Mais faites-le le plus vite possible, dès que vous repérez l’erreur, pour que vous n’ayez aucun problème si vous vous faites contrôler par les forces de l’ordre.

En combien de temps obtiendrez-vous votre nouvelle carte grise ?

Si votre carte grise comporte des erreurs, faites le nécessaire pour les corriger dans les meilleurs délais. Comme tout le monde, vous aimerez sans aucun doute avoir un certificat d’immatriculation correct le plus vite possible. Justement, combien de temps devriez-vous attendre pour recevoir votre nouvelle carte grise suite à une erreur de déclaration de cession ?

En fait, dès la réception de votre demande, celle-ci sera validée, enregistrée et traitée dans les plus brefs délais. Vous, vous devez faire une demande de nouvelle carte grise au même titre qu’un duplicata. En règle générale, vous recevrez celle-ci dans un délai de 7 jours tout au plus. Il peut arriver que le traitement de votre dossier prenne plus de temps, mais un délai de plus d’ une semaine reste exceptionnel. Vous avez la possibilité de suivre l’avancement de votre demande en consultant votre compte sur le site de l’ANTS.

Votre nouvelle carte grise vous sera envoyée par voie postale sous un pli sécurisé. Entre-temps, vous pouvez continuer de circuler avec votre véhicule grâce au coupon détachable de votre certificat d’immatriculation ou grâce au Certificat Provisoire d’Immatriculation (CPI) qu’on vous aura remis. Si vous vous faites contrôler, n’oubliez pas de préciser que votre demande de nouvelle carte grise est déjà en cours de traitement, cela vous évitera des ennuis. Il est enfin à noter que vous pouvez confier la demande de votre nouvelle carte grise à un professionnel agréé. En vous déchargeant ainsi de ces démarches, vous gagnez du temps. En plus, vous pourrez obtenir votre certificat d’immatriculation plus vite, sous 48 h bien souvent.

L’essentiel

Vous devez garder à l’esprit que chaque moto a sa vocation, l’usage pour lequel elle est conçue. Donc, vous ne devez pas seulement vous attarder sur l’esthétique de la moto mais également sur l’utilisation que vous comptez en faire : Est-ce pour aller au travail, faire des courses, bref, pour votre quotidien ? Ou est-ce pour le plaisir de rouler uniquement le week-end ? Pour voyager ? Votre choix devra s’appuyer sur votre réponse à ces questions. Puis, faites des recherches sur les lois en vigueur concernant la bécane de vos rêves, car certaines motos puissantes ne sont accessibles qu’avec un permis spécifique, que vous soyez un débutant ou un motard confirmé.

A ne pas oublier

Votre taille et votre poids entrent également en compte dans le choix de votre moto. Si la moto est trop grande et trop lourde pour vous, vous ne pourrez pas vous stabiliser ni poser vos pieds au sol à l’arrêt. Vous risquez de perdre très souvent l’équilibre et finir avec une blessure grave voire mortelle. D’un autre côté, si la moto est trop petite et trop légère pour votre gabarit, vous serez terriblement inconfortable et le risque d’accident sera toujours présent. Vous pouvez aussi opter pour une solution écologique : l’électrique. C’est tout à fait possible à présent avec les bornes d’alimentation électriques installées sur les routes et autoroutes, donc l’autonomie ne posera pas de problèmes.

Par où commencer l’apprentissage ?

Pour initier votre enfant au vélo, il faut commencer par les bases et l’initier au tricycle. Offrez-lui une bicyclette avec deux roues arrière dans ce cas. Vous pourrez le pousser doucement pour qu’il s’habitue petit à petit. Une fois la phase d’initialisation terminée, il faut lui apprendre à pédaler afin qu’il puisse se déplacer tout seul. Il verra par lui-même qu’en pédalant plus vite, il se déplacera et la bicyclette gagnera en célérité. À ce moment-là, le suivre d’une manière rapprochée afin de l’aider à tourner le vélo et l’empêcher de trop accélérer est recommandé. Lorsqu’il aura compris le principe de pédalage, il faudra aussi lui apprendre à manier le guidon. Le vélo va dans la direction vers laquelle le guidon se tourne. Ce ne sera pas très difficile à lui enseigner et ce sera très pratique pour éviter les obstacles sur sa route. Comme c’est un début d’apprentissage, l’angle des tournants qu’il prendra devra être léger au tout début. Sachez dans ce cas que les deux roues arrière vont faciliter la prise de virage, lui permettant par exemple de tourner en rond plus facilement dans un espace clos. Par ailleurs, il peut être tenté de changer de direction en tournant le guidon en angle droit lorsque le chemin présente un tournant en angle droit. Cela risque de le faire tomber le vélo s’il a pris trop de vitesse. Enseignez-lui de ce fait la bonne technique pour engager le virage promptement, mais surement en diminuant la vitesse soit à l’aide de freins, soit en pédalant moins ou en frottant légèrement son pied contre la route puis en tournant légèrement le guidon pour gagner une trajectoire courbée et le remettre droit une fois le virage passé.

Deuxième étape : rouler sans les deux roues

Après avoir vécu quelques expériences avec la bicyclette munie des deux roues, votre enfant pourra poursuivre en montant d’un cran et en enlevant les deux roues placées à l’arrière de son vélo. Le défi majeur sera de garder l’équilibre sur la bécane. En effet, en l’absence des roues arrière cet équilibre ne peut exister que lorsque le vélo est en mouvement. De ce fait, il devra pédaler régulièrement pour trouver son équilibre et utiliser l’une de ses jambes pour s’équilibrer à l’arrêt. Tout d’abord, aidez-le à démarrer puis une fois lancer, il devra trouver l’équilibre sur son vélo en pédalant doucement. Encouragez-le à pédaler vite progressivement, car c’est souvent la peur d’accélérer qui le fait tomber. Pourtant, sans vitesse, il n’y a pas d’équilibre. Une fois le contrôle du vélo acquis, l’arrêt devra se faire en diminuant la vitesse et en prenant appui sur l’un de ses pieds. Vous pourrez toujours l’aider à s’arrêter jusqu’à ce qu’il comprenne l’astuce. Pour terminer, il ne lui restera plus qu’à démarrer tout seul en ayant toujours un œil sur lui jusqu’à ce qu’il soit totalement autonome. La clé pour démarrer sans l’aide des deux roues de ce fait est de pédaler fort et vite pour donner de l’élan au vélo et trouver rapidement l’équilibre.

La puissance

Une moto puissante présente à la fois des avantages et des inconvénients. En effet, un deux-roues puissant donne la possibilité de dépasser rapidement sur une courte distance. Certes, une moto a beau être puissante, mais il faut voir quand cette puissance est disponible. Comme précaution avec une moto puissante, il est important de veiller à ce que la remise de gaz sur le mouillé soit délicate.

Le poids

Plus une moto est puissante, plus elle devient lourde. Comme quoi, ce genre de moto requiert de la force pour la maitriser. Avec de la technique et de la maitrise du point d’équilibre, on peut toutefois contourner ce problème. En ce qui concerne un deux-roues léger, il faut se méfier, car son faible poids donne peu d’adhérence. Pour un débutant, l’idéal est de choisir une moto moins de 220 kg à vide. Vous pouvez opter pour un deux-roues de type trail, puisqu’il est peu puissant, mais facile à manœuvrer, léger, économique et confortable.

Le rayon de braquage

En milieu urbain, les trails, les routières, les roadsters et les scooters disposent d’un rayon de braquage plus court. Ils sont également idéals pour enchainer des virages. À côté, les customs, les GT, les sportives sont plutôt assez difficiles à manœuvrer, à l’exception de certains roadsters sportifs.

Le comportement routier

Le comportement routier de chaque moto varie en fonction de la vitesse et du type de terrain choisi. Pour une sur-vireuse, le deux-roues accentue le virage. Par contre, concernant une sous-vireuse, la moto entre difficilement dans un virage en s’écartant de la trajectoire idéale.

L’importance de l’entretien des véhicules

L’entretien régulier du parc automobile est important pour maintenir au maximum la durée de vie des véhicules. Pour gérer sa flotte automobile, il existe deux options. Vous pouvez recruter des mécaniciens et techniciens salariés, ou encore confier la gestion du parc à une société spécialisée. Cette seconde option présente de nombreux avantages. Vous aurez à votre disposition un gestionnaire multitâches qui assurera la prise en charge globale du parc.
Si vous optez pour le leasing, vous aurez à votre disposition un catalogue de véhicules neufs au choix. L’entretien est pris en charge par la société. Si un ou des véhicules présentent des problèmes, ceux-ci sont remplacés par la société. Par ailleurs, c’est le prestataire qui prend en charge le changement des pièces ainsi que toutes les autres dépenses liées à l’entretien des voitures.

Bien gérer les charges variables

10 à 30 % des charges liées à une flotte automobile concernent le carburant. Par conséquent, il est important de maîtriser la consommation du carburant de vos véhicules pour limiter vos charges. Dans ce cas, deux solutions s’offrent à vous. Lors de l’achat, orientez-vous vers des véhicules économes en carburant. Il est possible que leur prix à l’achat soit un peu plus élevé, mais cet investissement sera vite amorti au fil des années d’exploitation. Ensuite, établissez des conditions claires avec les conducteurs. Ceci, pour éviter les dérives lors de l’utilisation des véhicules. Vous devez également bien suivre la consommation de carburant et la distance parcourue par vos collaborateurs. Pour faciliter le suivi de tout cela, vous pouvez utiliser un logiciel de gestion de flotte automobile. C’est surtout conseillé si votre parc est constitué de nombreux véhicules. Grâce au logiciel, vous pouvez suivre facilement toutes les dépenses liées à votre parc automobile : évolution du prix du carburant, coût de l’entretien des véhicules, le lavage, etc. Vous y verrez aussi l’historique de vos dépenses.

Planifiez le remplacement des véhicules

Pour optimiser la gestion de votre parc automobile, vous devez également établir un plan en ce qui concerne le remplacement des véhicules. Chaque fois que vous faites entrer un nouveau véhicule au sein de votre flotte, ce plan devrait être ajusté. Plusieurs entreprises se réfèrent à une règle standard pour le remplacement de leurs véhicules. En général, il faut procéder au remplacement tous les trois ans pour des véhicules qui affichent 60.000 km au compteur. Mais les difficultés financières que subissent les entreprises ont entraîné certains changements. Aujourd’hui, la durée moyenne du remplacement est de 4 à 5 ans. Bien entendu, rien ne vous empêche de modifier votre politique de remplacement de véhicules pour l’adapter à votre budget et à vos besoins.